Film action, drame, thriller, arts martiaux de Quentin Tarantino avec Uma Thurman, Lucy Liu Vivica A. Fox, Daryl Hannah, David Carradine, Michael Madsen, Julie Dreyfus.
Scénario de Quentin Tarantino, d’après une idée de Quentin Tarantino et Uma Thurman.
États-Unis, 2003 (Kill Bill : Volume 1), 2004 (Kill Bill : Volume 2) - 1h52 (Kill Bill : Volume 1), 2h15 (Kill Bill : Volume 2).
Un mariage en plein désert : un commando fait irruption dans la chapelle, massacre les mariés et leurs invités et disparaît, laissant pour morte la Mariée et l’enfant qu’elle porte. Après quatre ans de coma, la Mariée se lance à la poursuite des assassins, membres du gang de Bill au sein duquel elle-même exerça autrefois ses talents de tueuse. Redevenue la redoutable Black Mamba du « Détachement International des Vipères Assassines », la Mariée n’a plus qu’une obsession : tuer Bill.
C’est Quentin Tarantino le réalisateur de Kill Bill volume 1 et 2. Né en 1963 à Knoxville (Tennessee), doit son prénom au personnage de « Quint », le forgeron métis interprété par Burt Reynolds dans la série western « Gunsmoke ». Quentin Tarantino passe son enfance dans la région de South Bay, au sud de Los Angeles. Dans son quartier pluriethnique de Torrance, le jeune Tarantino est exposé à une multiplicité de cultures populaires et s’imprègne des styles de cinéma les plus divers. Tarantino quitte le lycée à l’âge de dix-sept ans pour suivre des cours de comédie. Il est embauché à l’âge de vingt-deux ans comme vendeur aux Video Archives de Manhattan Beach, Tarantino se forgera ainsi une connaissance encyclopédique des vieux films. En 1991, il écrit Reservoir Dogs, long-métrage minimaliste richement dialogué. En 1994, Tarantino réalise Pulp Fiction, ce film remporte la Palme d’Or à Cannes. À ce jour, Quentin Tarantino a réalisé dix films.
Kill Bill est avant tout un hommage au cinéma et aux acteurs. De ce fait, Kill Bill se focalise sur le cinéma de genre, notamment les westerns spaghetti, les films d’arts martiaux chinois, les films de samouraïs et d’animation japonais. Le film envoie ainsi à des citations, des références et autres clins d’oeil.
Kill Bill, présenté en deux époques, se compose d’une série de chapitres dont chacun se puise son look et sa rythmique au sein d’un genre distinct et s’enrichit de références à la culture pop et à d’autres genres cinématographiques.